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Infos: Actualités Cameroun :: Lettre de Diane Zogo, épouse de Martinez ZOGO, journaliste assassiné au Cameroun :: Cameroon news

Martinez Zogo, a été sauvagement assassiné, cela ne fait plus de doute pour personne.  Alors, permettez- moi de saisir cette occasion que vous m’offrez pour interpeller et supplier solennellement toutes les hautes autorités morales du monde. Je veux ici interpeller personnellement, entre autres: – le Pape François – le Grand Imam du Cameroun – le Secrétaire général Général

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Infos: Actualités Cameroun :: Lettre de Diane Zogo, épouse de Martinez ZOGO, journaliste assassiné au Cameroun :: Cameroon news

Martinez Zogo, a été sauvagement assassiné, cela ne fait plus de doute pour personne. 

Alors, permettez- moi de saisir cette occasion que vous m’offrez pour interpeller et supplier solennellement toutes les hautes autorités morales du monde.

Je veux ici interpeller personnellement, entre autres: 
– le Pape François 
– le Grand Imam du Cameroun 
– le Secrétaire général Général de l’ONU, Monsieur Antonio Gutérres 
– le Président de la Commission de l’Union Africaine, Monsieur Moussa Faki Mahamat. Les Presidents
 Paul Biya, Joe Biden, Xi Jinping, Emmanuel Macron, Macky Sall, et tous les autres Chefs d’Etats, les Premiers Ministres Britannique et Canadien, Messieurs Rishi Sunnak et Justin Trudeau, le Chancelier Allemand Olaf  Scholz, etc 
– Tous les Prix Nobel en vie.
– Tous les défenseurs des humains .
– Toutes les Associations des journalistes.
–  Tous les citoyens du Monde épris de paix et de Justice.
Et tous ceux qui croient  encore que l’humanité de l’homme est sacrée et passe par le respect du droit à vie de l’autre 

Je vous lance ce cri de désespoir, comme on lance à bord d’un bateau en détresse, une bouteille à la mer pour vous  implorer:

1- D’exiger au Gouvernement Camerounais la protection sans faille des enfants et de la famille de Martinez Zogo, qui aujourd’hui a peur du danger qui continue à les guetter et, des incertitudes du lendemain .

2- D’exiger du Gouvernement Camerounais que les exécutants et les commanditaires de l’odieux assassinat du père de mes enfants soient rapidement interpellés, jugés et condamnés conformément à la loi.

Que pour plus de crédibilité et de serieux, qu’une Commission d’enquête nationale et internationale sous l’égide de l’ONU soit constituée pour qu’éclate une vérité indiscutable.

3- D’exiger la finalisation rapide et sans équivoque des enquêtes qui sont à l’origine de l’exécution barbare et inhumaine de mon compagnon. Ceci afin que celui-ci ne soit pas mort pour rien. Autrement, cela équivaudrait à une deuxième exécution capitale et sommaire d’Etat.

4- Que surtout, à l’issue des enquêtes appropriées, qu’en Mémoire de Martinez Zogo que soient traqués et traduits devant les juridictions nationales et internationales pénales les prédateurs de la fortune publique Camerounaise indexés dans les documents qu’il a remis aux hautes autorités judiciaires Camerounaise, avant son immonde assassinat.

5- Que les Biens Mal acquis de ces prédateurs, où qu’ils se trouvent dans le Monde, soient à jamais tracés, repérés, saisis et restitués en Mémoire de Zogo Martinez au Peuple Camerounais . 
Ça serait bonne justice.

6- Que l’Etat du Cameroun  reconnaîsse à feu Martinez Zogo la qualité de Martyr de la République , en exaltant son courage et son patriotisme pour le bien commun.

7- Je terminerai, cette interpellation citoyenne, en appelant tous les hommes et les femmes du Monde épris de Paix, de justice et liberté de s’autoriser à défendre la Mémoire du père de mes enfants comme, celle d’un bon  père de famille qui a été lâchement et barbarement achevé parce qu’il défendait une juste et noble cause, dans l’intérêt de tous et de chacun, c’est-à-dire, la protection de l’intérêt général.

 Alors, n’hésitez pas à participer PACIFIQUEMENT à toute action ou manifestation publique ou privée qui se tiendra en quelque lieu dans le monde en Mémoire de Martinez Zogo .

Que Dieu protège le Cameroun, tous ses enfants et tous ses amis.
Que Dieu vous bénisse tous, en tant que ses créatures .

Merci beaucoup pour votre inestimable soutien.

Diane Zogo (épouse de Martinez ZOGO)

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Infos: Actualités Cameroun :: Douala-Bonamoussadi : Une maison Sic, deux propriétaires :: Cameroon news

Vingt-deux ans après une transaction d’achat, la vendeuse vient d’expulser l’acquéreuse avec l’appui des éléments du corps national des sapeurs-pompiers. La maison construite par la Société immobilière du Cameroun (Sic), située au quartier Bonamoussadi à Douala, bloc N12, servant d’habitation, est désormais occupée par une dizaine d’éléments du corps national des sapeurs-pompiers. Ces hommes en

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Infos: Actualités Cameroun :: Douala-Bonamoussadi : Une maison Sic, deux propriétaires :: Cameroon news

Vingt-deux ans après une transaction d’achat, la vendeuse vient d’expulser l’acquéreuse avec l’appui des éléments du corps national des sapeurs-pompiers.

La maison construite par la Société immobilière du Cameroun (Sic), située au quartier Bonamoussadi à Douala, bloc N12, servant d’habitation, est désormais occupée par une dizaine d’éléments du corps national des sapeurs-pompiers. Ces hommes en tenue y ont presqu’élu domicile depuis le 9 février dernier, date à laquelle ils ont procédé à l’expulsion forcée de Berthe Amélie Kemogne, qui revendique la propriété des lieux.

Ce différend fait l’objet de plaintes déposées par la victime dans des unités de police et de gendarmerie, ainsi qu’à la Sécurité militaire (SÉMIL), au Tribunal militaire à Douala et au Tribunal de grande instance du Wouri. La plaignante en veut à Duisile Wanko, celle qui lui a vendu ladite maison pour escroquerie, trafic d’influence, rétention sans droit de la chose d’autrui ; et aux responsables des sapeurs-pompiers ayant encadré l’opération d’expulsion pour trafic d’influence, destruction de denrées alimentaires, vol, destruction en complicité et autres.

Une affaire qui remonte à l’an 2000. Berthe Amélie Kemogne est informée que Duisile Wanko qui vit aux Etats-Unis, vend sa maison au quartier Bonamoussadi. La vendeuse est en voie d’acquérir cette maison auprès de la Sic. « Nous nous accordées pour un montant total de 12,5 millions Fcfa, et que je devais lui verser la somme de 5 millions Fcfa et continuer à payer le reste sous forme de traites auprès du Crédit foncier du Cameroun (CFC) jusqu’au solde de tout compte », informe Berthe Amélie Kemogne.

Par la suite, un accord de vente est passé par devant notaire le 11 avril 2001 dans l’Etat de  MaryLand aux USA. « Une avance de 5 millions Fcfa a été reçue. Le dernier ou le reste du versement sera payé avant le transfert de propriété. Sous-entendu le transfert définitif du titre foncier en son nom », signe Duisile Wanko. Après avoir reçu l’avance de 5 millions Fcfa, Mme Wanko remet les clés de la maison vendue à la nouvelle acquéreuse. Mme Kemogne y habite pendant quelques années, avant d’y laisser sa famille pour s’installer au pays de l’Oncle Sam. Dans l’intervalle, elle verse les traites au Crédit foncier du Cameroun (CFC), comme convenu dans la transaction.

18 millions Fcfa

Plus tard, après avoir versé la totalité des traites attendue, Mme Kemogne sollicite une attestation de solde auprès du CFC. Elle ne l’obtient pas, parce que ladite attestation ne peut être délivrée qu’à Mme Wanko. L’immeuble portant encore son nom. « J’ai essayé depuis plusieurs mois d’entrer en contact avec dame Wanko pour parfaire la vente, en vain », explique Mme Kemogne. Entre-temps, Mmes Wanko et Kemogne, deux Camerounaises d’origine, obtiennent la nationalité américaine. Le 4 février 2023, l’acquéreuse débarque au Cameroun pour y passer quelques jours.

Tout se passe bien jusqu’au jeudi 9 février 2023, lorsque, étant au marché, « j’ai été jointe au téléphone par mon vigile qui m’a informé que des militaires qui sont arrivés chez moi. Ils ont demandé au vigile d’ouvrir le portail. Et face au refus du vigile, ces militaires ont escaladé la barrière et ont détruit les serrures des portes », rapporte Mme Kemogne. A son arrivée sur les lieux, Mme Kemogne se souvient qu’elle a été «portée par des sapeurs-pompiers et jetés hors de sa barrière comme un sac. Je me suis blessée. Quelque temps après, un autre véhicule des sapeurs-pompiers est arrivé à bord duquel se trouvait Mme Wanko, avec du matériel domestique qu’ils ont introduit dans ma maison».

Le lendemain, l’huissier de justice qui a voulu faire un constat a été refoulé. Joint au téléphone, Mme Wanko dit n’avoir pas vendu sa maison à dame Kemogne. « Si elle pense que je dois rembourser l’argent de son loyer de 22 ans, qu’elle me le dise. Je ne lui ai rien vendu. On a fait un contrat verbal à travers une amie », déclare Mme Wanko. Avant d’ajouter, en réaction à la présence des hommes en tenue, que : « Je suis de la famille des sapeurs-pompiers. J’ai le droit de demander de l’aide à tout le monde ». Pour sa part, dame Kemogne estime que « si Mme Wanko dit que je n’étais que son locataire, qu’elle apporte la preuve de ce qu’elle déclare ».

La plaignante, Berthe Amélie Kemogne, n’entend pas baisser les bras face à ce qu’elle qualifie d’injustice et d’utilisation abusive de la force publique à des fins privées. En plus, Mme Kemogne a perdu l’essentiel de ses effets qui sont restés dans la maison querellée. Il en est de même d’une somme de 18 millions Fcfa qui devaient lui permettre, dit-elle, d’achever les travaux de réhabilitation de ladite maison et des paquets qu’elle a transportés des Etats-Unis au Cameroun pour les familles de ses connaissances. 

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Infos: Actualités Cameroun :: Douala-Bonamoussadi : Une maison Sic, deux propriétaires :: Cameroon news

Vingt-deux ans après une transaction d’achat, la vendeuse vient d’expulser l’acquéreuse avec l’appui des éléments du corps national des sapeurs-pompiers. La maison construite par la Société immobilière du Cameroun (Sic), située au quartier Bonamoussadi à Douala, bloc N12, servant d’habitation, est désormais occupée par une dizaine d’éléments du corps national des sapeurs-pompiers. Ces hommes en

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Vingt-deux ans après une transaction d’achat, la vendeuse vient d’expulser l’acquéreuse avec l’appui des éléments du corps national des sapeurs-pompiers.

La maison construite par la Société immobilière du Cameroun (Sic), située au quartier Bonamoussadi à Douala, bloc N12, servant d’habitation, est désormais occupée par une dizaine d’éléments du corps national des sapeurs-pompiers. Ces hommes en tenue y ont presqu’élu domicile depuis le 9 février dernier, date à laquelle ils ont procédé à l’expulsion forcée de Berthe Amélie Kemogne, qui revendique la propriété des lieux.

Ce différend fait l’objet de plaintes déposées par la victime dans des unités de police et de gendarmerie, ainsi qu’à la Sécurité militaire (SÉMIL), au Tribunal militaire à Douala et au Tribunal de grande instance du Wouri. La plaignante en veut à Duisile Wanko, celle qui lui a vendu ladite maison pour escroquerie, trafic d’influence, rétention sans droit de la chose d’autrui ; et aux responsables des sapeurs-pompiers ayant encadré l’opération d’expulsion pour trafic d’influence, destruction de denrées alimentaires, vol, destruction en complicité et autres.

Une affaire qui remonte à l’an 2000. Berthe Amélie Kemogne est informée que Duisile Wanko qui vit aux Etats-Unis, vend sa maison au quartier Bonamoussadi. La vendeuse est en voie d’acquérir cette maison auprès de la Sic. « Nous nous accordées pour un montant total de 12,5 millions Fcfa, et que je devais lui verser la somme de 5 millions Fcfa et continuer à payer le reste sous forme de traites auprès du Crédit foncier du Cameroun (CFC) jusqu’au solde de tout compte », informe Berthe Amélie Kemogne.

Par la suite, un accord de vente est passé par devant notaire le 11 avril 2001 dans l’Etat de  MaryLand aux USA. « Une avance de 5 millions Fcfa a été reçue. Le dernier ou le reste du versement sera payé avant le transfert de propriété. Sous-entendu le transfert définitif du titre foncier en son nom », signe Duisile Wanko. Après avoir reçu l’avance de 5 millions Fcfa, Mme Wanko remet les clés de la maison vendue à la nouvelle acquéreuse. Mme Kemogne y habite pendant quelques années, avant d’y laisser sa famille pour s’installer au pays de l’Oncle Sam. Dans l’intervalle, elle verse les traites au Crédit foncier du Cameroun (CFC), comme convenu dans la transaction.

18 millions Fcfa

Plus tard, après avoir versé la totalité des traites attendue, Mme Kemogne sollicite une attestation de solde auprès du CFC. Elle ne l’obtient pas, parce que ladite attestation ne peut être délivrée qu’à Mme Wanko. L’immeuble portant encore son nom. « J’ai essayé depuis plusieurs mois d’entrer en contact avec dame Wanko pour parfaire la vente, en vain », explique Mme Kemogne. Entre-temps, Mmes Wanko et Kemogne, deux Camerounaises d’origine, obtiennent la nationalité américaine. Le 4 février 2023, l’acquéreuse débarque au Cameroun pour y passer quelques jours.

Tout se passe bien jusqu’au jeudi 9 février 2023, lorsque, étant au marché, « j’ai été jointe au téléphone par mon vigile qui m’a informé que des militaires qui sont arrivés chez moi. Ils ont demandé au vigile d’ouvrir le portail. Et face au refus du vigile, ces militaires ont escaladé la barrière et ont détruit les serrures des portes », rapporte Mme Kemogne. A son arrivée sur les lieux, Mme Kemogne se souvient qu’elle a été «portée par des sapeurs-pompiers et jetés hors de sa barrière comme un sac. Je me suis blessée. Quelque temps après, un autre véhicule des sapeurs-pompiers est arrivé à bord duquel se trouvait Mme Wanko, avec du matériel domestique qu’ils ont introduit dans ma maison».

Le lendemain, l’huissier de justice qui a voulu faire un constat a été refoulé. Joint au téléphone, Mme Wanko dit n’avoir pas vendu sa maison à dame Kemogne. « Si elle pense que je dois rembourser l’argent de son loyer de 22 ans, qu’elle me le dise. Je ne lui ai rien vendu. On a fait un contrat verbal à travers une amie », déclare Mme Wanko. Avant d’ajouter, en réaction à la présence des hommes en tenue, que : « Je suis de la famille des sapeurs-pompiers. J’ai le droit de demander de l’aide à tout le monde ». Pour sa part, dame Kemogne estime que « si Mme Wanko dit que je n’étais que son locataire, qu’elle apporte la preuve de ce qu’elle déclare ».

La plaignante, Berthe Amélie Kemogne, n’entend pas baisser les bras face à ce qu’elle qualifie d’injustice et d’utilisation abusive de la force publique à des fins privées. En plus, Mme Kemogne a perdu l’essentiel de ses effets qui sont restés dans la maison querellée. Il en est de même d’une somme de 18 millions Fcfa qui devaient lui permettre, dit-elle, d’achever les travaux de réhabilitation de ladite maison et des paquets qu’elle a transportés des Etats-Unis au Cameroun pour les familles de ses connaissances. 

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Infos: Actualités Cameroun :: Urgent, graves inondations à Buéa: 6 personnes portées disparues :: Cameroon news

Selon plusieurs sources, la ville de Buéa dans la région du sud-ouest du Cameroun a été  le théatre samedi, d’une grave inondation. Les trombes d’eau ont emporté plusieurs immeubles précaires sur leur passage laissant des familles désormais sans abris.  C’est l’absence des voies de canalisation pour faciliter la circulation des eaux venant du mont Cameroun

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Infos: Actualités Cameroun :: Urgent, graves inondations à Buéa: 6 personnes portées disparues :: Cameroon news

Selon plusieurs sources, la ville de Buéa dans la région du sud-ouest du Cameroun a été  le théatre samedi, d’une grave inondation. Les trombes d’eau ont emporté plusieurs immeubles précaires sur leur passage laissant des familles désormais sans abris. 

C’est l’absence des voies de canalisation pour faciliter la circulation des eaux venant du mont Cameroun qui serait à l’origine du drame qui a particulière affecté Buea Town.

6 personnes seraient portées disparues. Plusieurs sources non officielles annoncent également le décès d’un enfant emporté par les eaux de pluies. Lire par ailleurs ici […]

Nous y reviendrons

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