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Infos: Actualités Cameroun :: Assassinat du journaliste Martinez Zogo : Dieudonné Mveng et d’autres patrons de presse en danger :: Cameroon news

Selon les milieux de la presse au Cameroun, après le kidnapping de Martinez Zogo le directeur de la radio urbaine Amplitude FM émettant de Yaoundé, une liste de journalistes à éliminer, était en circulation sur les réseaux sociaux.  L’on évoque de plus en plus des noms de patrons de presse à éliminer : Jacques Blaise

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Infos: Actualités Cameroun :: Assassinat du journaliste Martinez Zogo : Dieudonné Mveng et d’autres patrons de presse en danger :: Cameroon news

Selon les milieux de la presse au Cameroun, après le kidnapping de Martinez Zogo le directeur de la radio urbaine Amplitude FM émettant de Yaoundé, une liste de journalistes à éliminer, était en circulation sur les réseaux sociaux. 

L’on évoque de plus en plus des noms de patrons de presse à éliminer : Jacques Blaise Mvié le directeur de publication ( DP) de l’hebdomadaire La Nouvelle,  Dieudonné Mveng Balla le PDG du groupe de presse La Météo, éditeur du bihebdomadaire éponyme, du quotidien Info Matin, La Météo Sports et Info TV ; Christophe Bobiokono le  DP de l’hebdomadaire jurídico- judiciaire Kalara, Haman Mana, DP du quotidien le jour, le journaliste et lanceur d’alerte Paul Chouta de Camerounweb entre autres.

Très proche de Jean Pierre Amougou Belinga pendant très longtemps, Dieudonné Mveng et Jean Pierre Amougou Belinga  se regardent en chiens de faïence depuis bientôt un an. Jean Pierre Amougou Belinga avait essayé d’envoyer Dieudonné Mveng en prison, en le harcelant par plusieurs convocations à la police judiciaire de Yaoundé,  une dette de cinq  millions francs CFA contractée  auprès de Vison Finance de Jean Pierre Amougou Belinga. Une dette qui grimpera à 20 millions francs CFA, à cause des agios divers.  Le PDG du groupe La Météo s’acquittera de sa dette de 20 millions francs CFA, s’évitant l’humiliation et le déshonneur, alors même que c’était Jean Pierre Amougou Belinga l’avaliseur de sa dette.  

La discorde.  Dieudonné Mveng désigne Parfait Ayissi, exclu des effectifs de Vision 4 de Jean Pierre Amougou Belinga en 2020.  Celui qu’on appelle affectueusement 
 » Perfecto », est  nommé directeur d’Info TV. Un recrutement très mal  pris par le PDG du groupe l’Anecdote. Selon des indiscrétions, l’homme d’affaires qu’on dit entouré de collaborateurs sans aucune personnalité, pour ne pas dire de simples larbins, se fera dire par ces derniers, que Dieudonné Mveng vient de lui faire un coup bas, voulant tuer l’audience de Vision 4. Parfait Ayissi étant un journaliste controversé, mais très connu du paysage médiatique camerounais.

Et depuis la découverte macabre du corps sans vie du journaliste Martinez Zogo, deux clans supposés ou réels en poste au sein du pouvoir à Yaoundé, s’affrontent par le biais des miliciens  des réseaux sociaux. La dichotomie est vite établie sur les réseaux sociaux : le clan Laurent Esso – Amougou Belinga- Motaze, contre le clan Ferdinand Ngoh Ngoh- Cyrus Ngoh Ngoh… Depuis la mort de Martinez Zogo, les miliciens des réseaux sociaux des deux clans, supposés ou réels, se rejettent la paternité de l’assassinat répugnant de Martinez Zogo. Et tout est mis en œuvre : fabrication de Fake news, manipulation, attaque au vitriol de certains journalistes par le clan Amougou Belinga, à l’instar de Jacques Blaise Mvié, Dieudonné Mveng. 

Pour le clan présumé dont Jean Pierre Amougou Belinga est la face visible de l’iceberg, c’est « le clan  de la pieuvre » 
(Ferdinand Ngoh Ngoh le ministre d’État,  secrétaire général de la présidence de la République depuis 11 ans), le commanditaire de l’assassinat de Martinez Zogo. Les miliciens des réseaux sociaux acquis à la cause de Jean Pierre Amougou Belinga,  avancent  que c’est le camp d’en face qui a  éliminé Martinez Zogo, et projette les assassinats d’autres journalistes,  afin de mettre lesdits crimes   au compte de Jean Pierre Amougou Belinga dont le désormais feu Martinez Zogo a fait son sujet durant les tout derniers mois de sa vie, en présentant des documents selon lesquels le propriétaire du groupe l’Anecdote, est devenu milliardaire par le truchement de marchés publics fictifs, et payés rubis sur ongle, via les lignes budgétaires opaques 94, 65 et 57. Pour le clan Amougou Belinga, « le clan de la pieuvre » en profite ainsi, pour éliminer tous les patrons de presse ennemis. Sur ces listes en circulation sur les réseaux sociaux, figure Dieudonné Mveng. Le patron de presse ne comprend rien à tout cela, mais craint beaucoup pour sa vie, selon ses proches qui affirment que le PDG du groupe de presse La Météo, serait tenté de demander l’asile en Occident, ce dernier est très inquiet, malgré le soutien de sa famille, de ses amis et connaissances.  » Mais à son âge, à presque 60 ans, Dieudonné Mveng ne peut plus se permettre un exil, avec une femme et de nombreux enfants. Il faut juste que le chef de l’État prenne cette affaire de projet d’exécution de certains journalistes par l’un ou l’autre clan en lutte pour la prise de pouvoir  au sérieux. On ne sait jamais », fait savoir un proche de Dieudonné Mveng.

Il faut protéger Dieudonné Mveng. Il est sous la menace d’un assassinat à la Martinez Zogo. Et peu importe le clan suppose ou réel porteur de ce projet satanique d’assassinat de Dieudonné Mveng, seule la protection de sa vie compte.

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Infos: Actualités Cameroun :: Douala-Bonamoussadi : Une maison Sic, deux propriétaires :: Cameroon news

Vingt-deux ans après une transaction d’achat, la vendeuse vient d’expulser l’acquéreuse avec l’appui des éléments du corps national des sapeurs-pompiers. La maison construite par la Société immobilière du Cameroun (Sic), située au quartier Bonamoussadi à Douala, bloc N12, servant d’habitation, est désormais occupée par une dizaine d’éléments du corps national des sapeurs-pompiers. Ces hommes en

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Infos: Actualités Cameroun :: Douala-Bonamoussadi : Une maison Sic, deux propriétaires :: Cameroon news

Vingt-deux ans après une transaction d’achat, la vendeuse vient d’expulser l’acquéreuse avec l’appui des éléments du corps national des sapeurs-pompiers.

La maison construite par la Société immobilière du Cameroun (Sic), située au quartier Bonamoussadi à Douala, bloc N12, servant d’habitation, est désormais occupée par une dizaine d’éléments du corps national des sapeurs-pompiers. Ces hommes en tenue y ont presqu’élu domicile depuis le 9 février dernier, date à laquelle ils ont procédé à l’expulsion forcée de Berthe Amélie Kemogne, qui revendique la propriété des lieux.

Ce différend fait l’objet de plaintes déposées par la victime dans des unités de police et de gendarmerie, ainsi qu’à la Sécurité militaire (SÉMIL), au Tribunal militaire à Douala et au Tribunal de grande instance du Wouri. La plaignante en veut à Duisile Wanko, celle qui lui a vendu ladite maison pour escroquerie, trafic d’influence, rétention sans droit de la chose d’autrui ; et aux responsables des sapeurs-pompiers ayant encadré l’opération d’expulsion pour trafic d’influence, destruction de denrées alimentaires, vol, destruction en complicité et autres.

Une affaire qui remonte à l’an 2000. Berthe Amélie Kemogne est informée que Duisile Wanko qui vit aux Etats-Unis, vend sa maison au quartier Bonamoussadi. La vendeuse est en voie d’acquérir cette maison auprès de la Sic. « Nous nous accordées pour un montant total de 12,5 millions Fcfa, et que je devais lui verser la somme de 5 millions Fcfa et continuer à payer le reste sous forme de traites auprès du Crédit foncier du Cameroun (CFC) jusqu’au solde de tout compte », informe Berthe Amélie Kemogne.

Par la suite, un accord de vente est passé par devant notaire le 11 avril 2001 dans l’Etat de  MaryLand aux USA. « Une avance de 5 millions Fcfa a été reçue. Le dernier ou le reste du versement sera payé avant le transfert de propriété. Sous-entendu le transfert définitif du titre foncier en son nom », signe Duisile Wanko. Après avoir reçu l’avance de 5 millions Fcfa, Mme Wanko remet les clés de la maison vendue à la nouvelle acquéreuse. Mme Kemogne y habite pendant quelques années, avant d’y laisser sa famille pour s’installer au pays de l’Oncle Sam. Dans l’intervalle, elle verse les traites au Crédit foncier du Cameroun (CFC), comme convenu dans la transaction.

18 millions Fcfa

Plus tard, après avoir versé la totalité des traites attendue, Mme Kemogne sollicite une attestation de solde auprès du CFC. Elle ne l’obtient pas, parce que ladite attestation ne peut être délivrée qu’à Mme Wanko. L’immeuble portant encore son nom. « J’ai essayé depuis plusieurs mois d’entrer en contact avec dame Wanko pour parfaire la vente, en vain », explique Mme Kemogne. Entre-temps, Mmes Wanko et Kemogne, deux Camerounaises d’origine, obtiennent la nationalité américaine. Le 4 février 2023, l’acquéreuse débarque au Cameroun pour y passer quelques jours.

Tout se passe bien jusqu’au jeudi 9 février 2023, lorsque, étant au marché, « j’ai été jointe au téléphone par mon vigile qui m’a informé que des militaires qui sont arrivés chez moi. Ils ont demandé au vigile d’ouvrir le portail. Et face au refus du vigile, ces militaires ont escaladé la barrière et ont détruit les serrures des portes », rapporte Mme Kemogne. A son arrivée sur les lieux, Mme Kemogne se souvient qu’elle a été «portée par des sapeurs-pompiers et jetés hors de sa barrière comme un sac. Je me suis blessée. Quelque temps après, un autre véhicule des sapeurs-pompiers est arrivé à bord duquel se trouvait Mme Wanko, avec du matériel domestique qu’ils ont introduit dans ma maison».

Le lendemain, l’huissier de justice qui a voulu faire un constat a été refoulé. Joint au téléphone, Mme Wanko dit n’avoir pas vendu sa maison à dame Kemogne. « Si elle pense que je dois rembourser l’argent de son loyer de 22 ans, qu’elle me le dise. Je ne lui ai rien vendu. On a fait un contrat verbal à travers une amie », déclare Mme Wanko. Avant d’ajouter, en réaction à la présence des hommes en tenue, que : « Je suis de la famille des sapeurs-pompiers. J’ai le droit de demander de l’aide à tout le monde ». Pour sa part, dame Kemogne estime que « si Mme Wanko dit que je n’étais que son locataire, qu’elle apporte la preuve de ce qu’elle déclare ».

La plaignante, Berthe Amélie Kemogne, n’entend pas baisser les bras face à ce qu’elle qualifie d’injustice et d’utilisation abusive de la force publique à des fins privées. En plus, Mme Kemogne a perdu l’essentiel de ses effets qui sont restés dans la maison querellée. Il en est de même d’une somme de 18 millions Fcfa qui devaient lui permettre, dit-elle, d’achever les travaux de réhabilitation de ladite maison et des paquets qu’elle a transportés des Etats-Unis au Cameroun pour les familles de ses connaissances. 

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Infos: Actualités Cameroun :: Douala-Bonamoussadi : Une maison Sic, deux propriétaires :: Cameroon news

Vingt-deux ans après une transaction d’achat, la vendeuse vient d’expulser l’acquéreuse avec l’appui des éléments du corps national des sapeurs-pompiers. La maison construite par la Société immobilière du Cameroun (Sic), située au quartier Bonamoussadi à Douala, bloc N12, servant d’habitation, est désormais occupée par une dizaine d’éléments du corps national des sapeurs-pompiers. Ces hommes en

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Vingt-deux ans après une transaction d’achat, la vendeuse vient d’expulser l’acquéreuse avec l’appui des éléments du corps national des sapeurs-pompiers.

La maison construite par la Société immobilière du Cameroun (Sic), située au quartier Bonamoussadi à Douala, bloc N12, servant d’habitation, est désormais occupée par une dizaine d’éléments du corps national des sapeurs-pompiers. Ces hommes en tenue y ont presqu’élu domicile depuis le 9 février dernier, date à laquelle ils ont procédé à l’expulsion forcée de Berthe Amélie Kemogne, qui revendique la propriété des lieux.

Ce différend fait l’objet de plaintes déposées par la victime dans des unités de police et de gendarmerie, ainsi qu’à la Sécurité militaire (SÉMIL), au Tribunal militaire à Douala et au Tribunal de grande instance du Wouri. La plaignante en veut à Duisile Wanko, celle qui lui a vendu ladite maison pour escroquerie, trafic d’influence, rétention sans droit de la chose d’autrui ; et aux responsables des sapeurs-pompiers ayant encadré l’opération d’expulsion pour trafic d’influence, destruction de denrées alimentaires, vol, destruction en complicité et autres.

Une affaire qui remonte à l’an 2000. Berthe Amélie Kemogne est informée que Duisile Wanko qui vit aux Etats-Unis, vend sa maison au quartier Bonamoussadi. La vendeuse est en voie d’acquérir cette maison auprès de la Sic. « Nous nous accordées pour un montant total de 12,5 millions Fcfa, et que je devais lui verser la somme de 5 millions Fcfa et continuer à payer le reste sous forme de traites auprès du Crédit foncier du Cameroun (CFC) jusqu’au solde de tout compte », informe Berthe Amélie Kemogne.

Par la suite, un accord de vente est passé par devant notaire le 11 avril 2001 dans l’Etat de  MaryLand aux USA. « Une avance de 5 millions Fcfa a été reçue. Le dernier ou le reste du versement sera payé avant le transfert de propriété. Sous-entendu le transfert définitif du titre foncier en son nom », signe Duisile Wanko. Après avoir reçu l’avance de 5 millions Fcfa, Mme Wanko remet les clés de la maison vendue à la nouvelle acquéreuse. Mme Kemogne y habite pendant quelques années, avant d’y laisser sa famille pour s’installer au pays de l’Oncle Sam. Dans l’intervalle, elle verse les traites au Crédit foncier du Cameroun (CFC), comme convenu dans la transaction.

18 millions Fcfa

Plus tard, après avoir versé la totalité des traites attendue, Mme Kemogne sollicite une attestation de solde auprès du CFC. Elle ne l’obtient pas, parce que ladite attestation ne peut être délivrée qu’à Mme Wanko. L’immeuble portant encore son nom. « J’ai essayé depuis plusieurs mois d’entrer en contact avec dame Wanko pour parfaire la vente, en vain », explique Mme Kemogne. Entre-temps, Mmes Wanko et Kemogne, deux Camerounaises d’origine, obtiennent la nationalité américaine. Le 4 février 2023, l’acquéreuse débarque au Cameroun pour y passer quelques jours.

Tout se passe bien jusqu’au jeudi 9 février 2023, lorsque, étant au marché, « j’ai été jointe au téléphone par mon vigile qui m’a informé que des militaires qui sont arrivés chez moi. Ils ont demandé au vigile d’ouvrir le portail. Et face au refus du vigile, ces militaires ont escaladé la barrière et ont détruit les serrures des portes », rapporte Mme Kemogne. A son arrivée sur les lieux, Mme Kemogne se souvient qu’elle a été «portée par des sapeurs-pompiers et jetés hors de sa barrière comme un sac. Je me suis blessée. Quelque temps après, un autre véhicule des sapeurs-pompiers est arrivé à bord duquel se trouvait Mme Wanko, avec du matériel domestique qu’ils ont introduit dans ma maison».

Le lendemain, l’huissier de justice qui a voulu faire un constat a été refoulé. Joint au téléphone, Mme Wanko dit n’avoir pas vendu sa maison à dame Kemogne. « Si elle pense que je dois rembourser l’argent de son loyer de 22 ans, qu’elle me le dise. Je ne lui ai rien vendu. On a fait un contrat verbal à travers une amie », déclare Mme Wanko. Avant d’ajouter, en réaction à la présence des hommes en tenue, que : « Je suis de la famille des sapeurs-pompiers. J’ai le droit de demander de l’aide à tout le monde ». Pour sa part, dame Kemogne estime que « si Mme Wanko dit que je n’étais que son locataire, qu’elle apporte la preuve de ce qu’elle déclare ».

La plaignante, Berthe Amélie Kemogne, n’entend pas baisser les bras face à ce qu’elle qualifie d’injustice et d’utilisation abusive de la force publique à des fins privées. En plus, Mme Kemogne a perdu l’essentiel de ses effets qui sont restés dans la maison querellée. Il en est de même d’une somme de 18 millions Fcfa qui devaient lui permettre, dit-elle, d’achever les travaux de réhabilitation de ladite maison et des paquets qu’elle a transportés des Etats-Unis au Cameroun pour les familles de ses connaissances. 

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Infos: Actualités Cameroun :: Urgent, graves inondations à Buéa: 6 personnes portées disparues :: Cameroon news

Selon plusieurs sources, la ville de Buéa dans la région du sud-ouest du Cameroun a été  le théatre samedi, d’une grave inondation. Les trombes d’eau ont emporté plusieurs immeubles précaires sur leur passage laissant des familles désormais sans abris.  C’est l’absence des voies de canalisation pour faciliter la circulation des eaux venant du mont Cameroun

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Infos: Actualités Cameroun :: Urgent, graves inondations à Buéa: 6 personnes portées disparues :: Cameroon news

Selon plusieurs sources, la ville de Buéa dans la région du sud-ouest du Cameroun a été  le théatre samedi, d’une grave inondation. Les trombes d’eau ont emporté plusieurs immeubles précaires sur leur passage laissant des familles désormais sans abris. 

C’est l’absence des voies de canalisation pour faciliter la circulation des eaux venant du mont Cameroun qui serait à l’origine du drame qui a particulière affecté Buea Town.

6 personnes seraient portées disparues. Plusieurs sources non officielles annoncent également le décès d’un enfant emporté par les eaux de pluies. Lire par ailleurs ici […]

Nous y reviendrons

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